samedi 19 novembre 2016

QU'EST-CE QUE L'ABONDANCE ?






REGLE N° 3 : Vivre en Abondance


Avant notre naissance c'est le corps de notre mère qui nous nourrit ensuite c'est la terre qui nous donne à manger, avec fruits et légumes, en abondance. Alors préservons-là !

C'est :
Apprendre à reconnaitre l'abondance dans un compliment, un sourire, un repas payé au restaurant, une pièce de monnaie trouvée par terre … Mais aussi dans tout ce qui ne peut être volé comme le savoir, le temps, l'amour ou encore la lumière, la beauté, l'air que nous partageons.
C'est :
Avoir. Mais posséder doit aider à être heureux et non devenir le but de notre vie. Le détachement c'est en avoir, mais ne pas en dépendre pour son bonheur.
C'est :
Avant tout une façon de penser et de vivre. La pauvreté est également une façon de penser et de vivre et non seulement un manque d'argent ou de biens. Dans la vie, il ne nous arrive pas ce que nous voulons, il nous arrive plutôt ce à quoi nous croyons. Penser à vérifier à l'intérieur de soi si l'on se sent prospère ou pauvre.
C'est :
Ne rien accumuler de ce qui n'est plus utile. Tout ce qui n'est pas utilisé depuis un an, le donner à quelqu'un qui saura s'en servir. Faire de la place pour du nouveau. Donnez sans attente. Le vrai don demande un effort. Lorsque c'est facile, c'est plutôt à soi-même qu'on fait plaisir.
C'est :
Apprendre aussi à recevoir. Refuser de recevoir enlève l'opportunité à quelqu'un de donner. Savoir donner et savoir recevoir est un des meilleurs moyens pour s'ouvrir à l'abondance.
C'est :
Apprendre à s'aimer et à aimer tous ceux qui nous entourent en nous servant de notre argent et de nos biens; et non pas aimer notre argent et nos biens en nous servant de ceux qui nous entourent.
C'est :
Ne pas attendre d’avoir totalement triomphé de tous les défis de l’existence pour être heureux.
C'est :
Remplacer l’anxiété par la confiance : Je suis libre lorsque tout est fluide, sans blocage par peur ou désir de possession. La peur détruit d’innombrables possibilités. Notre existence ne consiste pas uniquement à réussir ou à échouer, à obtenir ou à perdre. Cette pensée dualiste génère la peur. Tout est expérience et enseignement.
(Inspiré en grande partie de l'enseignement de Lise Bourbeau)

SOLUTION ENIGME N°5 : PORTE-BONHEUR D'ITALIE


LA LEGENDE DE LA CORNE D'ABONDANCE

Même si Ulysse sut résister au chant des sirènes grâce aux conseils de Circé, en bouchant à la cire les oreilles de ses matelots et en se faisant attacher au mât ( car il voulait absolument entendre leur chant), Parthénope, une fois tombée amoureuse de lui, ne pouvait le vaincre par le simple ensorcellement. Pourquoi ? car son père, Achéloos, le dieu fleuve, avait lui-même perdu un combat mené contre un grand héros grec : Héraclès, à cause d'un amour non partagé qu'il voulait aussi contraindre par sa magie. Et oui, l'amour ni ne se commande, ni ne se contraint, ni ne se gagne. Il ne peut être que donné et reçu librement !




En voici l'histoire : La légende raconte qu' Achéloos amoureux de Déjanire, comme Héraclès, le provoqua en duel pour obtenir la jeune femme. Comme toutes les divinités de l'eau, il était capable de se transformer à volonté (Ça me rappelle le combat de Merlin l'enchanteur contre madame mime). Durant le combat, il prit la forme d'un serpent géant puis d'un terrible taureau. Déjanire était très effrayée par les métamorphoses d'Achéloos. Elle préférait la force rassurante d'Héraclès. Heureusement Héraclès arracha soudain une corne du taureau qui capitula. En échange et en récompense, Héraclès reçut la corne de la chèvre d'Amalthée (celle qui avait élevé Zeus), c'est à dire la corne d'abondance.




Cette corne devint un symbole porte-bonheur pour l'Italie. On la trouve partout, sur de nombreuses statues. Dans le centre historique de Naples, on trouve la statue du dieu Nil (le fleuve égyptien). Le panthéon romain accueille des divinités gréco-romaines, mais aussi certaines divinités égyptiennes. La statue aurait été construite par une communauté égyptienne venue d'Alexandrie et installée à Naples entre les IIème et IIIème siècles après JC. Une légende dit que le corps échoué de Parthénope, se serait divisé en 3 parties qui ont été dispersées à 3 endroits de la ville. Une partie reposerait là où se trouve la statue du dieu Nil.




Quand on eut trouvé la statue, ce fut pour nous l'occasion de manger d'énormes gelati!!! y'a qu'à voir celle de mamamour...



dimanche 13 novembre 2016

MUSEE ARCHEOLOGIQUE DE NAPLES

Nous décidons d'aller au musée archéologique de Naples afin d'essayer de glaner quelques informations sur la lignée de la sirène Parthénope. Nous avons vraiment beaucoup de chance, des graffeurs nous indiquent le chemin avec humour pour nous y rendre.

 

Là-bas, je suis impressionné par 2 statues qui gardent comme des sphinx une montée d'escalier avec une superbe statute de lion. Je pense que c'est surement le lion de Nemée même si ce n'est pas écrit au pied de la statue. Et il me fait aussi penser au lion de "Narnia" un film que j'adore par dessus tout!


Nous décidons avec maman de nous installer un moment et nous sortons tout notre matériel pour commencer à dessiner. 

 

Nous dessinons la statue de droite ci-dessus parce qu'il y a un dragon... Et vous savez comment j'adore les dragons! ça nous a pris un bon moment et ça nous a bien reposé. 

 

Voici ce que ça donne :




Bon, on s'est régalé! Maintenant faut que nous regardions toutes nos photos afin de voir si nous avons avancé dans la recherche. On vous tient au courant!
 





INDICE PORTE-BONHEUR DE L'ITALIE


En allant au château de l'oeuf, j'apprends la légende de Parthénope. Son histoire est l'indice attendu pour nous diriger vers le porte-bonheur de l'Italie. Quel est-il ? Il faut pour cela nous enfoncer plus profondément dans le temps et remonter l'histoire de sa famille car voilà ce que Pulcinella me remit comme billet à ouvrir une fois l'histoire de l'oeuf trouvé : " Il y a des combats qui ne peuvent se gagner que lorsque la malédiction pesant sur une famille sera brisée. A défaut, l'histoire se répètera et la blessure se rouvrira plus intense, entraînant des conséquences plus terribles encore et des défaites plus amères. Parthénope ne pouvait que succomber mortellement à Ulysse en le défiant et ce, malgré le pouvoir de son chant. Pourquoi? Trouve à qui elle fut loyal dans sa défaite en répétant son histoire malheureuse et tu trouveras le combat qui offrit à l'Italie un porte-bonheur par les mains d'un autre grand héros grec."


 





samedi 12 novembre 2016

SOLUTION ENIGME N°4 : PORTE BONHEUR DE NAPLES

Alors pour trouver le porte-bonheur de Naples, j'ai regardé sur internet les châteaux à visiter. L'indice de Pulcinella était le sens originel de son nom : "poussin". Un château a de suite attiré mon attention : Il Castel dell'ovo soit le château de l'oeuf. Ce château est construit sur un petite île, presqu'un rocher, qui s'appelait Mégaride. Il est aujourd'hui relié à la terre par un pont.

Le château de l'oeuf
 
On dit que le poête Virgile aurait caché un oeuf dans les souterrains du château et que le sort de Naples dépendrait de cet oeuf. Etant donné qu'il ne doit pas se casser, il a été enfermé dans une cage. 
Je n'ai pas pu voir cet oeuf, personne ne le peut. Mais maman m'a tout de suite montré un tableau de René Magritte qui représente cette image. Le voici :

Les affinités electives - MAGRITTE

Evidemment ce n'est pas n'importe quel oeuf. Une légende raconte qu'il s'agirait de l'oeuf d'une sirène, retrouvée morte sur le rocher de Mégaride. Cette sirène serait morte de n'avoir pas réussi à séduire Ulysse par son chant. Elle s'appelait Parthénope. Elle se serait jetée dans les eaux du golfe par dépit et se serait noyée. Elle fut alors vénérée comme une déesse et donna son nom à la ville que les colons grecs construisirent ici. Cette ville devint bien plus tard : Naples.

WATERHOUSE

DRAPER

Il faut savoir que dans l'antiquité les sirènes étaient des femmes-oiseaux. Les sirènes à queue de poisson apparaissent au Moyen Age en Europe et viennent des mythologies nordiques. La sirène, gentille n’arrive qu’en 1835 avec « La petite sirène » du conte d’Hans Christian Andersen.