Après la rencontre avec Sainte Lucie,
nous avons décidé de poursuivre en direction de sa terre natale.
Nous sommes donc partis de Corse (nous y reviendrons plus tard), pour
rejoindre la côte italienne en passant par les îles toscanes.
A Rome, nous avons trouvé « Trévi »,
jeune fille qui pour sauver sa virginité face aux soldats assoiffés
d'Agrippa, leur révéla l'origine d'une source d'eau abondante et
pure à 20 kms de Rome.
Cette découverte permis d'acheminer
par aqueduc de l'eau potable vers Rome, ville où fut construit de
nombreuses fontaines par la suite.
La fontaine de Trévi est devenue le
porte-bonheur de Rome : des amoureux y viennent jeter une ou
deux pièces par dessus l'épaule, dos à la fontaine, pour y revenir
un jour avec l'amour de leur vie.
La fontaine raconte la mer, avec le dieu Océan ou Neptune conduisant son char en forme de coquillage tirés par 2 chevaux ailés, l'un nerveux, l'autre calme, eux-mêmes dirigés par des tritons (sorte de sirènes au masculin).
Nous avons décidé de coloriser cette
fontaines pour voir ce que ça faisait car dans l'antiquité les
statues étaient peintes de manières très réalistes. La sculpture
était un peu comme une photo, sa vocation était d'immortaliser
l'image d'une personnalité ou de personnifier des dieux. Alors même
si la fontaine de Trévi a été construite au XVIIIème siècle,
nous nous sommes prêtés à l'exercice par curiosité.
Nous avons colorié la falaise rocheuse
en fonction de ce que le voyage nous a appris en regardant les
paysages depuis la mer. A savoir que juste au-dessus du niveau de la
mer, il y a toujours une bandes noires due aux diverses algues
collées à la roche, vient ensuite une zone désertique causée par le sel
empêchant toute végétation de s'y installer, puis arrive enfin la
verdure au-dessus de tout.
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